Depuis sa retraite de la NBA, Tony Parker n’est pas seulement resté une figure sportive emblématique, mais il est devenu un homme d’affaires très actif. Il a construit peu à peu un portefeuille d’investissements diversifié, à travers sa holding Infinity Nine (et ses déclinaisons). Mais dans quelles entreprises investi Tony Parker ou dans quels types de projets engage-t-il son capital ?
Sommaire
- Qui est Tony Parker investisseur
- Les secteurs d’investissement privilégiés
- Exemples d’entreprises dans lesquelles Tony Parker a investi
- Modèles d’investissement : direct, participatif, via start-ups
- Stratégie géographique et appétit pour l’immobilier et le patrimoine
- Forces, risques et limites de son portefeuille
- Ce que les entrepreneurs peuvent apprendre de son approche
- Conclusion
1. Qui est Tony Parker investisseur
Tony Parker, ancien champion NBA, est désormais président de l’ASVEL, figure du sport, mais aussi entrepreneur. Sa structure Infinity Nine regroupe plusieurs activités : sport, immobilier, divertissement, innovation, élevage. Il cumule déjà une forte crédibilité dans les affaires, non seulement par sa notoriété, mais aussi par la diversité de ses investissements.
Il s’intéresse à la fois aux actifs de patrimoine (immobilier, héritage, domaines viticoles, haras), aux start-ups innovantes (technologie, plateformes, fintech, etc.), et aux entreprises à vocation locale ou nationale pouvant combiner retour sur investissement et impact.
2. Les secteurs d’investissement privilégiés
Pour répondre à la question « dans quelles entreprises investi Tony Parker », voici les secteurs qu’il privilégie, avec pourquoi et comment.
a) Immobilier & patrimoine
Tony Parker investit dans des projets immobiliers notables, notamment dans les domaines patrimoniaux, les propriétés de prestige ou les haras. Ce type d’investissement lui permet non seulement un potentiel de plus-value sur le long terme, mais aussi la création d’un actif tangible.
b) Élevage et courses hippiques
L’achat de haras, l’élevage de chevaux, les courses font partie de ses passions, transformées en investissements. Le Domaine de Quétiéville (Calvados) est un exemple, où il combine immobilier, terre agricole, infrastructure équine.
c) Start-ups / entreprises innovantes
Tony Parker investit dans des jeunes sociétés, notamment via des plateformes d’investissement ou en tant que business angel. Il s’allie à des start-ups dans les domaines de la tech, du sport, du lifestyle, de l’impact.
d) Média, divertissement et production audiovisuelle
Le milieu des médias, de la production de contenu audiovisuel, des marques de divertissement intéressent Parker. Sa participation dans l’émission Qui veut être mon associé ? montre qu’il ne se contente pas d’investir, il cherche aussi à être visible dans la chaîne de valeur médiatique.
e) Vignoble, vin & terroir
Tony Parker se tourne aussi vers des actifs liés au vin, aux domaines viticoles, souvent associés à l’idée de patrimoine, d’image de marque, d’héritage culturel, et de long terme.
3. Exemples d’entreprises dans lesquelles Tony Parker a investi
Voici quelques exemples concrets et récents qui illustrent dans quelles entreprises investi Tony Parker.
Entreprise / Projet | Secteur | Ce qu’on sait |
---|---|---|
Bricks.co | Fintech / immobilier participatif | Tony Parker participe à des levées de fonds pour Bricks.co, via des projets immobiliers ou participatifs, permettant aux investisseurs individuels de prendre part à des projets (haras, domaines, etc.) |
Domaine de Quétiéville (haras) | Immobilier patrimonial / élevage chevalin | Il est propriétaire du haras, a repris le site, souhaite l’étendre, et l’a ouvert à l’investissement participatif depuis 10 €. |
Vignoble / domaine viticole Saint-Laurent, Avignon | Vin / tourisme rural | Tony Parker avait déjà investi dans un domaine viticole à Avignon, dans des projets de patrimoine et de production. |
ASVEL (basket-ball, sports) | Sport & club sportif | Investissement dans le sport, club professionnel (ASVEL), tant dans la direction que dans le capital. |
Start-ups via Blast Club | Start-ups tech, impact, startups B2B / B2C | Il rejoint Blast.Club, club d’investissement qui co-investit dans des start-ups, avec plusieurs levées où Tony Parker est présent comme investisseur. Blast Club |
4. Modèles d’investissement : direct, participatif, via start-ups
Comprendre dans quelles entreprises investi Tony Parker, c’est aussi regarder comment il investit.
a) Investissement direct
Dans des projets comme le haras ou les domaines viticoles, il est directement propriétaire, ou co-propriétaire, ce qui lui donne contrôle, responsabilité patrimoniale, gestion plus impliquée.
b) Financement participatif
Il a recours à des plateformes comme Bricks.co, qui permettent à des investisseurs individuels d’entrer dans des projets immobiliers ou de patrimoine dès petites sommes. Cela permet de mutualiser le risque, d’inclure sa communauté, et de mobiliser beaucoup de monde autour d’un projet.
c) Business angel / Startups
Par le biais de clubs d’investissement ou de fonds privés, Tony Parker investit dans des start-ups en phase seed / pré-seed, dans des secteurs innovants, mais souvent avec une forte exigence de due diligence, de scalabilité, et de potentiel de marque.
d) Actifs de patrimoine / domaine immobilier
Propriétés historiques, domaines viticoles ou haras sont des actifs durables dans lesquels il investit pour le long terme, en combinant usage, image, héritage.
5. Stratégie géographique et appétit pour l’immobilier et le patrimoine
a) Local / national
Tony Parker investit majoritairement en France, notamment dans des régions comme la Normandie (haras), le Vaucluse (vignoble), etc. Il valorise les projets à caractère patrimonial français, de terroir, liés à l’identité locale.
b) Patrimoine + image
Les projets immobiliers qu’il choisit sont souvent prestigieux, ou du moins symboliques. Un haras, un domaine viticole, un club sportif sont autant de portes d’entrée vers des actifs qui ont du sens en plus d’un potentiel financier.
c) Diversification
Sa stratégie montre qu’il ne se limite pas à un seul secteur : sport, immobilier, start-ups tech, média. Cette diversification permet de répartir les risques, de profiter de plusieurs moteurs de croissance.
6. Forces, risques et limites de son portefeuille
Forces
- Diversité des secteurs : permet de ne pas dépendre d’un seul type de marché.
- Proximité avec la notoriété : il utilise sa marque personnelle pour donner de la visibilité aux projets.
- Actifs tangibles : immobilier, patrimoine – meilleurs protections contre l’inflation et les cycles.
- Capacité à mobiliser le public / communauté via financement participatif.
Risques
- L’immobilier et le patrimoine (haras, domaines, vignobles) sont sensibles à la conjoncture (coûts de maintenance, charges foncières, fiscalité, environnement).
- Les start-ups sont plus risquées : taux d’échec élevé, besoin de liquidité, de relais d’investissement.
- Risque d’image si des promesses d’investissement ne sont pas tenues, comme cela a été évoqué dans certains médias.
- Risque sectoriel selon les régulations (vin, élevage, médias) ou les contraintes environnementales.
Limites
- Le capital engagé dans certains projets reste limité ou fractionné, parfois sans contrôle total.
- Certains investissements nécessitent de gros délais avant retour sur investissement.
- Liquidité parfois faible sur les actifs de patrimoine.
7. Ce que les entrepreneurs peuvent apprendre de son approche
En étudiant dans quelles entreprises investi Tony Parker, on peut tirer plusieurs leçons utiles si l’on veut bâtir son propre portefeuille ou s’inspirer dans ses propres montages.
- Diversifier les secteurs : ne pas se concentrer uniquement sur la technologie ou le sport.
- Investir dans des actifs tangibles : patrimoine, immobilier, domaines qui ont une valeur intrinsèque.
- S’appuyer sur sa marque ou réputation pour apporter de la crédibilité aux projets.
- S’impliquer localement pour des projets de terroir ou patrimoniaux, qui combinent valeur financière, culturelle, et affective.
- Utiliser des modèles participatifs pour financer des projets coûteux tout en partageant le risque.
- Faire preuve de patience : certains projets exigent plusieurs années avant de donner un rendement.
8. Conclusion
En conclusion, dans quelles entreprises investi Tony Parker ? On y trouve un mélange de start-ups innovantes, d’actifs de patrimoine, de sport, de terroir, d’immobilier, et de projets médiatiques. Sa stratégie allie visibilité, passion, diversification et ancrage local.
Pour les investisseurs ou entrepreneurs, son modèle offre un exemple : choisir des entreprises dans lesquelles on croit, diversifier, combiner risques et actifs durables, et utiliser sa réputation pour amplifier les effets de levier.
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